Boko Haram vaincu par le rosaire, grâce à une vision de l’évêque

Boko Haram vaincu par le rosaire, grâce à une vision de l’évêque

Boko Haram s’essouffle. Le mouvement islamiste s’est replié dans les forêts et évite désormais la guerre frontale, même si les opérations kamikazes subsistent bel et bien. Chacun s’en félicite, du président nigérian au chef des armées. On loue les Comités de vigilance des populations, on applaudit les Bataillons d’intervention rapide, les succès de la coalition de forces des pays voisins, l’aide américaine en termes de logistique… Un évêque invoque une autre explication de ce recul bienfaisant : l’arme de Lépante, le Rosaire, qu’il a fait réciter le plus possible à ses fidèles, dans les foyers, les écoles, les paroisses, depuis près de deux ans
 
“Comme Dieu le lui avait, en personne, demandé.”
 

C’était il y a un an et demi, en avril 2015. Mgr Oliver Dashe Doeme révèle que Notre-Seigneur lui est apparu, quelques mois auparavant, alors qu’il priait devant le Saint-Sacrement. Sans mot dire, Il lui tendit une épée qui, dès qu’elle toucha la main de l’évêque, se transforma en chapelet… Il lui dit alors trois fois ces mots : « Boko Haram is gone », « Boko Haram est parti ».
 
« Je n’ai pas eu besoin d’un prophète pour me donner une explication. C’était clair : avec le chapelet, nous serons capables d’expulser Boko Haram de notre diocèse. Avec l’intervention de la Mère de Jésus, que j’aime tant, je vais encourager de nombreuses personnes à prier le chapelet et nous allons déloger Boko-Haram. Et c’est exactement ce qui est en train de se produire. La plupart des diocèses où Boko-Haram était présent, retrouvent leur liberté et les gens reviennent chez eux. »

 

Une histoire fort proche de celle de saint Pie V peu avant Lépante que nous vous proposons de retrouver sur Cyrano.net

Peut-être est-il temps de reconnaître le danger islamique, une invasion violente aux portes du vieux monde chrétien. Un combat engagé par les forces du mal qui se situe entre ciel et terre et que Notre Dame peut bien remporter une fois encore, pour peu que nous le lui demandions.

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