L’aluminium dans les vaccins – Par le professeur Henri Joyeux

L’aluminium dans les vaccins – Par le professeur Henri Joyeux

Tribune par le Professeur Henri Joyeux

Je reçois beaucoup de questions à propos de ma comparution, le 24 mai 2018, devant la chambre disciplinaire du Conseil national de l’Ordre des médecins.

Quel qu’en soit le résultat définitif, je reste confiant dans l’écoute attentive des 5 Juges médecins et de la Présidente membre du Conseil d’État.

Le Président du Conseil de l’Ordre de mon département a clairement exprimé la disproportion entre la radiation prononcée, puis suspendue, et la faute s’il y a faute.

Mon avocat a parfaitement présenté les attaques incessantes dont j’ai été l’objet dans les grands médias, faisant courir le bruit que j’étais radié à jamais de l’Ordre des médecins, que je ne serais plus Professeur, ce qui n’est pas possible, alors que la radiation à peine prononcée en juillet 2016 était immédiatement suspendue par deux appels.

Tous deux ont parfaitement démontré que je n’ai jamais été contre les vaccins, mais seulement contre les excès, et, plus encore, que j’ai voulu révéler certains dangers quand ils ne sont pas indiqués.

Personnellement j’ai expliqué ma démarche de défenseur, lanceur d’alertes pour tous, en particulier les familles et les enfants, et pourquoi j’ai informé par voie de pétition pour être entendu du public le plus large en assumant tous les termes utilisés. C’était et c’est encore le seul moyen de dépasser le blocage médiatique et institutionnel sur ce sujet des vaccins.

La première pétition contre la vaccination massive des jeunes enfants qui se préparait contre les papilloma virus a recueilli, en très peu de temps, plus de 400 000 signatures, et a pu faire reculer les autorités de santé. La deuxième réclamant le retour au classique DTP SANS ALUMINIUM a été signée par près de 1,150 000 personnes.

Ce n’est pas la vaccination qui est remise en cause, ce sont les indications et les effets indésirables.

Les affirmations que j’ai révélées reposent sur un travail continu et encore actuel. J’ai obtenu tous les renseignements nécessaires auprès des collègues les plus compétents, et de la littérature scientifique internationale la plus solide et très active en ce moment.

Le point le plus important concerne l’adjuvant aluminium présent dans les vaccins, dès la première dose obligatoire selon la loi
Chez un nourrisson de 2 mois, la dose d’aluminium métal injectée par la première dose de vaccin est nettement supérieure à la Dose Minimale Toxique fixée par la FDA (Food and Drug Administration) et de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé).

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