Le témoignage de Mgr Carlo Maria Viganò sur la couverture d’agressions sexuelles imputable aux membres les plus haut placés de la hiérarchie de l’Eglise catholique – le pape François, le cardinal Parolin, le cardinal Bertone sont tous visés – oblige pour le moins à se poser des questions. Pourquoi et comment cette crise s’est-elle installée, qui en est la première victime, pourquoi le pape François, directement impliqué selon les dires de l’ancien nonce à Washington, choisit-il de persister dans ce silence qui est l’essentiel du problème aujourd’hui ? Un début de réponse est apporté par une commentatrice danoise, Iben Thranholm, dont l’analyse a été reprise par LifeSiteNews. Pour elle, il faut remonter à l’époque bolchevique et à celle de Staline pour comprendre que les abus sexuels et autres dépravations mis au jour dans l’Eglise sont le résultat d’une stratégie soviétique pour la « détruire de l’intérieur ».
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