Finalement, peu de choses ont filtré sur la réunion du pape François avec l’épiscopat gréco-catholique ukrainien qui s’est tenue à Rome du 4 au 5 juillet dernier. On sait que le souverain pontife s’est penché sur la situation de l’Ukraine et que les évêques l’ont invité à se rendre dans ce pays éprouvé par la guerre. Rien n’a été dit non plus sur la question de l’institution d’un patriarcat gréco-catholique. Moscou y est farouchement hostile, mais les évêques ukrainiens sont déterminés. Pour Mgr Sviatoslav Shevchuk, archevêque majeur de Kiev et primat de l’Église gréco-catholique, le “statut patriarcal n’a pas à être créé, il doit être reconnu”. Le pape François serait favorable à cette requête. D’après les statistiques, l’Église gréco-catholique comprendrait 42 évêques, 3045 prêtres et 4000 paroisses. Depuis la sortie de la clandestinité en 1989-1990, cette Église se développe. Une dynamique qui expliquerait peut-être les demandes actuelles.
- Carmélites déchaussées: le pape François rappelle son attachement à la vie contemplative
- Déplacement des évêques de France en Égypte
- Crise entre Israël et l’Iran: le pape appelle à la paix
- Abbaye Notre-Dame des Neiges : objectif 2000 bouteilles pour le lancement de leurs produits d’entretien naturels (Divine Box)
- Rome: le pape François reçoit une congrégation de rite syro-malankar
- Paris: messe annuelle de l’Oeuvre d’Orient le dimanche 5 mai 2024
- États-Unis: nomination d’un nouvel évêque à Charlotte (Caroline du Nord)
- Dignitas Infinita: un texte romain sur la dignité humaine
- Pape François : « faire l’expérience de la plénitude de la vie à travers Jésus »
- Cameroun: le cardinal Sarah ordonne douze nouveaux prêtres