Une transgenre devient un chien…

Une transgenre devient un chien…

Cette créature humaine de sexe féminin à la naissance se considère aujourd’hui comme un ou une transgenre. Depuis qu’on a le droit de choisir son sexe (ou celui de ses enfants comme Marc-Olivier GPA Fogiel, ou son genre, eh bien cette personne a choisi de devenir un chien. Elle joue à la baballe, se promène à quatre pattes, etc.

 

Attention : certaines images peuvent choquer les personnes cisgenrées (en gros les hétéros dont le genre correspond au sexe de naissance) les plus sensibles. La vidéo est en anglais non sous-titré mais ça n’empêche pas les non-anglophiles de la regarder, juste pour leur culture personnelle.

 

 

Il y a 20 ans sortait Didier, le film sur une métamorphose d’homme en chien. À l’époque, on ne parlait pas encore de genre et toutes ces conneries. On se gaussait gentiment de ces individus insolites qui permettaient à la grande masse de se sentir normale.

 

 

Joey – Dieu ait son âme – des Ramones chante Animal Boy à Milan en 1992, une chanson sur la différence et l’animalité. La chanson figure sur l’album du même nom sorti en 1985. Elle raconte l’histoire de l’enfant-singe dont l’image figurait dans le 33 tours.

 

 

Gonna kill and destroy
I’m not an animal boy
Why don’t they understand
I’m not an ape man
Don’t have brain damage
I’m not a wild savage
Don’t push me around
Don’t bring my head down

Animal boy x3

I’m not an imbecile
Don’t treat me like an animal
I’m not a creature in the zoo
Don’t tell me what to do

Animal boy x 3

You don’t know what it’s like
You don’t know how I feel
I don’t have a monkey’s brain
I am not an animal
You can’t lock me in a cage
This ain’t the Stone Age
Better get out of my way
Someone’s gonna have to pay

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L’enfant-singe du cirque Barnum

 

À la différence de la connasse de Los Angeles, l’enfant-singe était né comme ça et il a dû pas mal souffrir, surtout à l’époque où les problèmes psychologiques se traitaient à coups de pied au cul et à coups de poing dans la gueule. En fait c’était une enfant-singe : elle était laotienne et s’appelait Krao (comme le père de Rahan), et a vécu de 1872 à 1926. C’est un explorateur du nom de Karl Bock qui la ramène en Europe alors qu’elle n’a que 11 ans.

Ce fils de chien cherchait des humains bizarres pour les revendre au cirque Barnum, qui exhibera Krao comme le chaînon manquant entre le singe et l’homme jusqu’en 1926, date de sa mort. Joey (Ramone), qui avait du cœur, a rendu hommage à cette pauvre petite fille avec sa chanson. Joey, petit juif de New York atteint du syndrome de Marfan (une maladie génétique qui touche le squelette et les yeux), savait ce qu’était la différence. Il a su très tôt qu’il était condamné à terme, et n’a vécu que 50 ans, mais intensément. C’est peut-être pour ça que les chansons des Ramones sont aussi rapides (1’30 en moyenne sur les premiers barnums, euh, albums).

À propos de Barnum, puisqu’on est là pour apprendre des choses, le cirque a tenu 146 ans mais a fini par crouler sous les dettes et les attaques des défenseurs des animaux, et surtout des éléphants, qui étaient maltraités hors caméra.

Aujourd’hui, les animaux se font rares dans les cirques, on pourrait peut-être les remplacer par ces débiles transgenres mais ça n’attirerait pas grand-monde : c’est factice, pas naturel. En plus les défenseurs des animaux seront peut-être perplexes devant ces transgenres hommes-animaux. Surtout s’ils sont carnivores, mais ne mélangeons pas tout. Rien ne vaut la nature, finalement. Même quand elle dévie un peu du programme (génétique).

Retour au présent avec ce pétage de plombs de Ruffin de La France insoumise à propos des handicapés :

Source : ER

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